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USHUAÏA NATURE au Laos avec Nicolas Hulot http://forumlao.free.fr/forum/viewtopic.php?f=1&t=170 |
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Auteur: | suryap [ Jeu Juil 26, 2007 8:55 am ] |
Sujet du message: | USHUAÏA NATURE au Laos avec Nicolas Hulot |
USHUAÏA NATURE au Laos avec Nicolas Hulot Le Mercredi 1er Aout 2007 sur TF1 - 20h50 "La cité perdue" Réalisé par Luc Marescot Présenté par Nicolas Hulot LA CITÉ PERDUE, TOURNÉ AU LAOS ET AU CAMBODGE, EST LE CINQUIÈME MAGAZINE USHUAÏA NATURE QUE RÉALISE GIL KEBAÏLI. DANS CETTE RÉGION DU MONDE PARTAGÉE ENTRE LES POPULATIONS DES MONTAGNES ET CELLES DES PLAINES, GIL KEBAÏLI EST PARTI, EN COMPAGNIE DE NICOLAS HULOT, LE LONG DU MÉKONG ; UN INCROYABLE VOYAGE DE LA PROVINCE DE KAMOUANE AU LAOS JUSQU'AU GRAND LAC TONLÉ SAP ET AUX MYTHIQUES TEMPLES D'ANGKOR. Passé colonial "L'Indochine est liée à la France historiquement et culturellement par son passé colonial. Nicolas Hulot avait à coeur d'explorer cette région, redécouverte en 1860 par le naturaliste français, Henri Mouhot. Nous avons choisi de suivre l'axe du Mékong pour voyager du Laos au Cambodge puis, au lieu de rejoindre son embouchure au Vietnam, nous avons bifurqué vers le lac magique du Tonlé Sap non loin de la cité d'Angkor. Un site suffisamment fort et somptueux pour conclure cet incroyable voyage en péninsule indochinoise. J'ai choisi de réaliser ce film sous la forme d'un "road-movie". Je ne voulais pas, à l'image des autres Ushuaïa Nature, envoyer Nicolas dans des expéditions spécifiques mais plutôt l'entraîner dans un voyage au fil de l'eau. Au rythme des crues Le Laos propose essentiellement des paysages de plaine. J'étais ravi de trouver la région montagneuse de Kamouane pour débuter l'émission. L'entrée de la grotte est très sauvage et s'ouvre, au bout de ces huit kilomètres, sur une vallée habitée. Cet affluent du Mékong est un petit paradis terrestre. Une sorte de Tunnel du Mont Blanc naturel ! J'ai sillonné la région au mois de septembre, quelques mois avant le tournage. Durant cette période, les eaux sont au plus haut. Faire un repérage dans ces conditions est difficile car le décor change totalement avec la décrue des eaux. Le biologiste Vincent Vedel m'avait indiqué la position de la grotte mais il m'a été impossible de la trouver. Je ne pouvais pas imaginer que le niveau de l'eau m'empêche de la voir ! Nous sommes donc revenus en décembre, quelques jours avant de tourner la séquence avec Nicolas, afin de m'assurer que la grotte existait bien et que les araignées seraient visibles. Une leçon de vie Ces populations vivent du minimum et de gestes essentiels. Rien n'est superflu. Non seulement ils préservent la nature mais ils pensent à leurs voisins. Dans les pièges installés dans les chutes, ils laissent volontairement un passage pour permettre aux populations en aval d'avoir du poisson. Cela reflète tout un état d'esprit.Le Bouddhisme participe à cette générosité et au respect de l'environnement. Il y a une vraie volonté d'éduquer les enfants, notamment à la protection de la nature. Ils ont la responsabilité du patrimoine naturel. Ils seront les pêcheurs et les paysans de demain et doivent absolument être conscients de la présence des derniers dauphins d'Irrawaddy. Malheureusement, il était impossible de les filmer sous l'eau opaque du Mékong. Il aurait fallu les capturer et il en était hors de question ! A défaut de réaliser de belles images, Ushuaïa Nature a le devoir patrimonial de montrer que cet endroit abritait, en 2006, deux cent spécimens de ces dauphins d'eau douce en voie de disparition. L'acte méritoire J'ai filmé cette cérémonie bouddhiste car cet événement important nous plonge dans le quotidien de ces peuples. Il y a un vrai échange entre les moines bouddhistes et la population. Les villageois font des actes méritoires en fournissant aux moines leur nourriture, en construisant leurs maisons et leurs temples. En échange, ils reçoivent l'éducation des moines et accomplissent ces actes méritoires qui leur permettent de racheter leurs péchés et de s'affranchir du cycle infernal des réincarnations, essence même de la religion bouddhiste. Une adaptation facile Ce tournage n'a été que du bonheur. Nous avons rencontré peu de difficultés et avons bénéficié d'un très bon accueil. Suivre le bateau à rame de Nicolas Hulot et Nathalie Nivot dans la cité lacustre n'était pas évident pour l'équipe de tournage qui se déplaçait en bateau à moteur. Pour les filmer, les caméramans voulaient être au plus près mais le bruit des moteurs s'entendait à travers les micros. Nous profitions donc d'un événement sonore du village (chant du coq, arrivée d'un autre bateau...) pour éviter ainsi, à l'antenne, tout changement de son remarquable. Tonlé Sap, merveille de la nature Le lac de Tonlé Sap est magique. Par un phénomène unique au monde, celui-ci inverse son cours lors des crues du puissant Mékong. Grâce à elles, le lac déborde et répand ses eaux jusqu'au milieu des rizières et des forêts. Il crée un cycle biologique extrêmement fertile et une pérennité dans la culture. Si la cité d'Angkor a réussi à se créer, c'est notamment grâce à cet écosystème des plus riches. Découvrir un manège à cet endroit, là où une personne sur quatre a péri du génocide pendant le régime des Khmers Rouges, est une vraie leçon d'humilité. Nicolas l'a parfaitement exprimé : "A un endroit où l'on pensait que juste l'essentiel avait le droit de cité, un peu de superflu ne fait pas de mal". Ce manège est le seul superflu que j'ai pu voir au cours de ce voyage et il est destiné aux enfants..." FORMÉ DANS UN PREMIER TEMPS À LA BIOLOGIE MARINE, VINCENT VEDEL S'EST SPÉCIALISÉ DANS L'ÉTUDE ET L'OBSERVATION DES ARAIGNÉES. IL ACCOMPAGNE NICOLAS HULOT DANS UNE GROTTE DE LA PROVINCE DE KAMOUANE AU LAOS, À LA RENCONTRE DE L'HETEROPODA MAXIMA, LA PLUS GRANDE ARAIGNÉE DU MONDE. D'où vous vient cette passion pour les araignées ? J'ai trouvé une place au Musée d'histoire naturelle de Senckenberg à Francfort. Comme tout sujet dans lequel on s'immerge, il finit par devenir passionnant. Je me suis rendu compte de la nécessité des araignées dans notre monde et de leur rôle fondamental dans l'écosystème. Il s'agit d'un prédateur d'insectes très important dont on peut se servir pour protéger les cultures au lieu d'utiliser des pesticides. C'est un animal assez esthétique. Quand on fait des photos de près, on distingue quatre paires de pattes, des crochets et huit yeux qui se déplacent. Quelles sont les caractéristiques de l'Heteropoda maxima ? C'est la plus grande araignée du monde. L'Heteropoda maxima est une cavernicole, elle a une très mauvaise vue. Par contre, elle ressent très bien les vibrations. Si on place sa main sur la roche près d'elle, elle va s'enfuir. Pour la capturer, il faut donc l'approcher par les airs sans lui souffler dessus. On peut ainsi s'avancer jusqu'à dix centimètres d'elle sans qu'elle perçoive notre présence. L'Heteropoda maxima ne tisse pas de toile. Pour se nourrir, elle joue de sa rapidité. Elle poursuit sa proie, lui saute dessus, plante ses crochets puis utilise sa force physique pour qu'elle ne s'échappe pas. Contrairement aux petites araignées qui recourent à la force du venin, L'Heteropoda maxima se contente de mordre. Elle n'injecte du venin que si la morsure ne s'avère pas suffisante. Dans l'émission, vous capturez les araignées sans protection. Quels risques prenez-vous ? Il y a une certaine technique à adopter pour attraper les araignées. Je commence à avoir le coup de main mais comme on peut le voir dans l'émission, cet entraînement ne suffit pas toujours ! L'Heteropoda maxima est dotée de petits poils qui se redressent et pénètrent dans la main quand on tente de l'attraper. Elle peut alors se retourner et mordre. Le venin n'a pas encore été testé mais théoriquement, il n'est pas dangereux. Cependant, une morsure peut entraîner de vilaines cicatrices et être particulièrement douloureuse. En général, l'Heteropoda maxima n'injecte pas de venin quand elle mord un être humain, car en produire demande un coût énergétique. Elle a tout à fait conscience qu'elle ne va pas pouvoir nous tuer donc elle préfère ne pas gaspiller d'énergie. La morsure est suffisamment pénible pour qu'on la relâche ! Comment se fait la distinction mâle/femelle ? Les femelles vivent généralement beaucoup plus longtemps que les mâles. Les araignées mâles sont là pour manger, grandir, se reproduire et mourir. Ils ont une vie assez courte. Leur corps est beaucoup plus petit et possèdent de très longues pattes (jusqu'à 25-30cm) car ce sont eux qui se déplacent à la recherche des femelles. Généralement, ces dernières grossissent beaucoup pour avoir assez d'énergie pour pondre et faire survivre les oeufs. Elles sont bien plus trapues que les mâles et se déplacent donc moins rapidement. En les observant de plus près, il est également possible de les distinguer grâce à leurs organes sexuels. Comment ces araignées survivent-elles aux inondations ? La grotte n'est pas totalement inondée. On suppose qu'elles se réfugient dans des recoins non inondables, tout comme les criquets de caverne dont elles se nourrissent. Nous disposons de peu d'informations sur leur biologie car elles ont été découvertes récemment. Peut-on trouver ces spécimens dans d'autres régions du monde ? On trouve l'Heteropoda venatoria dans la plupart des pays tropicaux. Mais, nous avons observé l'Heteropoda maxima uniquement dans la région de Kamouane au Laos. Nous nous sommes rendus à 200 kilomètres plus au Nord dans d'autres grottes où vivent des Heteropoda plus petites mais beaucoup plus agressives. Nous avons également découvert cinq à six nouvelles espèces. La présence de l'équipe de tournage n'a-t-elle pas rendu l'observation plus difficile ? Non, car l'équipe était chevronnée et avait l'habitude de filmer dans des endroits difficiles. Ils ont su être très discrets et étaient très attentifs à ne pas faire fuir les araignées. Participer à un tournage et fournir des explications sur ses observations possède un côté ludique. Cependant, contrairement à nos expéditions habituelles, nous devions être certains de la présence des araignées. Nous ne pouvions pas nous permettre d'avoir fait installer tout le matériel et d'avoir mobiliser toute une équipe pour n'observer que quelques petits spécimens... ARRIVÉE AU CAMBODGE EN 1994, AVEC L'ENVIE SECRÈTE D'UN ENGAGEMENT POUR L'HOMME ET LA NATURE, NATHALIE NIVOT S'EST IMMERGÉE PENDANT CINQ ANS DANS LA CULTURE KHMÈRE. EN 1999, ELLE DÉCOUVRE LE MONDE MYSTÉRIEUX ET UNIQUE DU GRAND LAC TONLÉ SAP ET FONDE L'ASSOCIATION OSMOSE AVEC LA CONVICTION QU'IL EST POSSIBLE DE RESTAURER DURABLEMENT DES LIENS HARMONIEUX ENTRE LES HOMMES ET LEUR ENVIRONNEMENT NATUREL. Comment est née l'association Osmose ? En 1997, l'UNESCO avait inscrit le Tonlé Sap sur la liste des réserves de biosphère. La réserve ornithologique de Prek Toal possédait donc déjà un statut légal mais il y avait un réel travail de terrain à réaliser. En 1999, j'ai créé l'association Osmose avec un cofondateur qui a pris en charge l'aspect ornithologique et scientifique du projet pendant que je m'occupais de la partie humaine et de la coordination. Nous avons eu un vrai coup de coeur pour ce site, pour la beauté du lieu et pour son importance écologique. Cette réserve constitue le dernier refuge en Asie du Sud-Est pour une dizaine d'espèces d'oiseaux menacées par les collectes d'oeufs et d'oisillons. Dans le cadre d'Osmose, nous avons donc développé un programme pilote de sensibilisation à l'environnement, de conservationde la biodiversité et d'écotourisme et nous avons intégré au projet les anciens braconniers. Ils composent aujourd'hui la moitié des équipes qui protégent les oiseaux. Même si j'ai quitté le Cambodge depuis un an, je garde un oeil sur les activités de l'association et je m'occupe de la recherche de financement. Quelles sont les particularités du village de Kompong Pluk ? Il est caractéristique des cités lacustres implantées sur le lac. Ses structures doivent pallier les inondations saisonnières car l'amplitude varie de un à dix mètres sur quatre ou cinq mois ! Que ce soit la faune, la flore ou l'être humain, chacun a fait preuve de capacités d'adaptation fabuleuses. Le village de Kompong Pluk est construit sur des pilotis de dix mètres de haut. Les villageois construisent des étages intermédiaires en bambous pour garder contact avec l'eau et entreposer le matériel et les animaux. Ces maisons fixes sont construites le long d'un canal angkorien qui date de l'Empire d'Angkor et qui permettait l'accès à la cité angkorienne. Quand les eaux se retirent complètement, les habitants quittent ces installations pour déménager à 5 ou 6 kilomètres du lac où ils fabriquent des villages saisonniers avec la même structure. Il existe également des villages flottants qui changent de forme en fonction des saisons. Une partie du tournage a eu lieu dans celui de Prek Toal où toutes les maisons sont en bois ou en bambous et reposent sur des radeaux. Peut-on considérer que ces populations utilisent les ressources de a nature sans la mettre en péril ? Faire de l'écologie et de la protection de la nature sur ce lac n'est pas une hérésie car les villageois sont très dépendants de ces ressources naturelles. La ressource en poisson est menacée notamment à cause d'un système ancestral de concessions de pêche, qui sont vendues aux enchères et dont l'Etat est propriétaire. Ceux qui investissent dans l'achat de ces concessions exploitent les pêcheurs locaux. Comme les acheteurs investissent beaucoup d'argent et payent la concession pour deux ans, ils n'ont pas vraiment l'esprit de pérennité et cherchent essentiellement à rentabiliser leur placement. Pour le tournage, nous nous trouvions sur une zone qui a un statut un peu particulier. Elle est gérée par le même propriétaire depuis plusieurs années. Ce "passe-droit" apporte une protection efficace et empêche l'accès aux contrevenants. Ces propriétaires ont compris l'intérêt de préserver la forêt et tout l'écosystème de la chaîne alimentaire. Quels souvenirs gardez-vous de ce tournage ? C'était une expérience fabuleuse. Nous avons connu quelques moments difficiles, notamment dans la réserve. Je n'éprouve aucune difficulté à communiquer avec les populations mais au milieu de ces colonies d'oiseaux, j'ai parfois eu le sentiment d'être une intruse. Le déplacement de l'équipe de tournage n'était pas évident mais tous avaient une remarquable capacité à dédramatiser et à détendre l'atmosphère. Nicolas Hulot et l’équipe d’Ushuaïa Nature partent à la rencontre des peuples du Mékong, de la province de Kamouane au Laos jusqu’à la cité perdue d’Angkor, le Versailles des Khmers, au Cambodge. Les eaux indomptées du Mékong, fleuve mythique long de 4 200 kilomètres, ont conditionné l’épanouissement des civilisations les plus étincelantes de l’Asie du Sud-Est. Cet incroyable voyage en péninsule indochinoise est l’occasion de rappeler une évidence : notre vie est entre les mains de la nature… En pirogue, au coeur de la région montagneuse et sauvage de Kamouane, Nicolas Hulot rejoint le biologiste Vincent Vedel dans une grotte creusée par la rivière Nam Himboun. A l’aide d’une lampe frontale, ce spécialiste passionné d’araignées repère les plus impressionnants spécimens d’Heteropoda maxima, la plus grande araignée du monde. Sur les chutes de Khone, des hommes pêchent au milieu du tumulte. Ce lieu particulièrement favorable à la pêche se situe au coeur des “4 000 îles” du Mékong. Les méthodes traditionnelles privilégient une pêche écologique avec le respect des villages situés plus en aval. Depuis les chutes d’eau, les images aériennes nous entraînent progressivement vers des courants plus calmes. Ce vol permet de mesurer toute l’envergure et la splendeur de ce grand fleuve et nous conduit au Cambodge. Au village, chants, danses, musique… toute la population est mobilisée pour une cérémonie bouddhiste destinée à récolter des fonds pour refaire le réfectoire des moines. Hommes et femmes accomplissent ces actes méritoires pour racheter leurs péchés et s’affranchir du cycle infernal des réincarnations. Nicolas Hulot est à bord d’un boutre à moteur. Des dauphins d’Irrawaddy passent près du bateau. Une rencontre simple, au fil de l’eau, avec les derniers représentants de ces dauphins d’eau douce dont seulement une centaine d’individus peuplent encore le Mékong… Sous le regard émerveillé des enfants, Nicolas Hulot prend place à bord d’un hydravion. Il survole la forêt immergée et les maisons flottantes qui composent les cités lacustres aux structures impressionnantes. Après avoir amerri, Nicolas rejoint Nathalie Nivot, membre de l’association Osmose sur le lac de Tonlé Sap, le plus grand lac d’eau douce d’Asie du Sud-Est. Une végétation particulière s’est développée sur la vaste zone inondable autour du lac. Un environnement très calme, abritant une riche biodiversité, où chaque maillon de l’écosystème s’est adapté aux inondations. Au fur et à mesure de leur avancée en bateau à rame, Nathalie Nivot décrit les constructions impressionnantes des maisons sur pilotis et des villages flottants où cohabitent êtres humains et animaux d’élevage (crocodiles, cochons…). Elle entraîne Nicolas et son équipe dans la réserve ornithologique de Prek Toal qui héberge les dernières grandes colonies nicheuses de cigognes, pélicans, marabouts et ibis de toute l’Asie du Sud-Est. Non loin du Tonlé Sap se trouvent les temples d’Angkor et notamment le site historique d’Angkor Vat, le célèbre temple-montagne et ses cinq tours annelées. Nicolas s’approche des premières pierres de la cité perdue de Beng Melea, située à cinquante kilomètres du site principal d’Angkor. Ce temple, érigé au temps de nos cathédrales et noyé dans la jungle, reflète parfaitement la symbiose végétale, minérale et l’ouvre humaine. Pour conclure cette diagonale indochinoise, Nicolas Hulot rejoint le sommet de la pyramide de Koh Ker, située à cent kilomètres au nord d’Angkor, témoin de l’extrême puissance de la civilisation qui l’a érigée. + d'infos : - tf1.fr - BANDE ANNONCE |
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